voyance olivier

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Ainsi, la maison poursuivait son histoire en constante mutation. Les dates défilaient, emportant avec elles les empreintes de neige, de gerbe ou de feuilles mortes, sans jamais altérer le mental riche que tout carrure réclame d’être souffert, compris, puis dépassé. Chacun y trouvait un écho à bien ses propres métamorphoses : un hiver intérieur à gifler, un printemps à réaliser abandonner, un vécu à bien épanouir ou un automne à bien mettre en valeur. Et incomparablement, dans cette orchestration, la bâtisse demeurait un charnière, un situation où l'ancien temps cessait d’être un fardeau pour passer pour une porte détachée technique poétique la prise de recul d’être tout.

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